Dernière étape : Rio
Nous voilà à Rio, dernière étape de notre voyage... On a du mal à y croire : on a déjà 6 mois de pérégrinations derrière nous, et c'est à peine si on les a vus passer...
Rio, donc. Elle n'a rien d'une capitale oppressante. C'est même une ville agréable, bordée de belles plages, et notamment des célèbres...
...Copacabana, ici, vue du fameux Pain de Sucre...
... et là, redécouverte lors d'une balade du dimanche, le matin de notre départ...
... avec son paseo où chacun s'adonne à ses activités favorites : jogging, balade du chien-chien, dégustation d'agua de coco...
... et Ipanema, plus belle encore, avec ses montagnes en arrière-plan...
Et puis Rio se niche au creux de montagnes verdoyantes.
Enfin, cerises sur le gâteau, Rio possède un lac, autour duquel les Cariocas (puisque c'est ainsi, au Brésil, que l'on désigne les habitants de Rio) aiment aussi se promener ou faire leur jogging le dimanche...
... et une forêt, la forêt de Tijuca, dans laquelle on trouve même une chute d'eau...
Voici la vue que l'on a de Rio depuis le "Pain de sucre" - on aperçoit, au loin (avec de bons yeux), le célèbrissime Christ Rédempteur du Corcovado, perché sur sa montagne :
Erigé en 1931, il est devenu depuis lors le symbole de la ville...
Vue de Rio depuis la montagne du Corcovado (à gauche, le pain de sucre) :
Le quartier chic d'Ipanema, qui borde la plage... le plus agréable de la ville
Bref, c'est avec un pincement au coeur que nous avons quitté Rio, notre dernière étape sur le continent américain... Nous avons alors rejoint Madrid pour 2 ultimes jours avant de retrouver Paris : la boucle fut bouclée, notre Tour du Monde achevé...
En retrouvant Lille, nous avons pu constater que rien n'avait changé, pas même la couleur du ciel, plus gris que jamais en ce mois de juillet... Nous qui pensions nous retrouver en pleine canicule...
Cela nous a inspiré quelques vers appropriés :
"Si tu vas à Rio, n'oublie pas ton petit Kpio,
Parce que vin dieu ki fait ko !
Si tu vas à Lille ou à Cambrai
N'oublie pas tin Kway
Car teu va t'prendre eun drache su'l'nez !"